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La recherche médicale, surtout dans le domaine de l’odontologie, privilégie des axes de recherche basés sur les traitements allopathiques de plus en plus complexes, les techniques chirurgicales, la technologie des biomatériaux et des matériels d’analyse et d’examen de plus en plus sophistiqués.
Le patient semble un peu oublié, négligé dans cette débauche de moyens techniques surhumains, et l’on pourrait presque parfois penser que les thérapeutes, en soignant une maladie, oublient de soigner le malade.
Bien peu de chercheurs – surtout représentés par des indépendants agissant dans un cadre privé, en dehors de structures officielles – s’intéressent aux moyens pouvant permettre une rééquilibration en profondeur des terrains individuels.
Et pourtant nous devons nous souvenir que toute maladie, toute pathologie présentent, avant toute action étrangère qu’elle soit traumatique, toxique ou microbienne, une cause intérieure, et négliger cette cause interne strictement propre au malade peut conduire à restreindre l’efficacité du traitement voire à le rendre totalement inopérant.
Le tissu parodontal, qui lui aussi présente des caractères individuels marqués, est une structure complexe, fragile, sujet à des pathologies pouvant conduire à des complications locales ou à distance graves, et dont le traitement est souvent long et difficile, nécessitant de surcroît l’adhésion et la participation responsables du patient.
Les mécanismes de réparation à ce niveau sont également complexes, multifactoriels, et il est dans cette optique de guérison particulièrement indiqué d’appuyer le traitement sur une optimisation naturelle des processus biologiques et physiologiques.
Oligothérapie et phytothérapie trouvent ici un magnifique champ d’application, malheureusement complètement négligé par la grande majorité des thérapeutes.
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Un dentifrice BIO pour soigner les sensibilités dentaires
Ecrit par Dr Biodentiste, classé dans DENTIFRICES. Pas de commentaire.
L’hypersensibilité des dents résulte fréquemment des collets dentaires dénudés. Les canaux de la dentine sont découverts et les stimulations extérieures parviennent ainsi directement aux nerfs. Le chlorure de potassium, composant minéral, pénètre dans la dent à travers les canaux de la dentine. Il forme un film protecteur autour des nerfs et développe ainsi son effet apaisant. La sensibilité est ainsi réduite.
La sauge et l’hamamélis enrayent les inflammations et fortifient les gencives, l’extrait de camomille bio a un effet apaisant et traitant. Prévention des saignements de gencives.
Des composants nettoyants doux, à base de gel de silice, enlèvent les plaques bactériennes, sans attaquer l’émail.
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Un dentifrice BIO pour soigner les parodontites
Ecrit par Dr Biodentiste, classé dans Divers. Pas de commentaire.
Ce dentifrice à la propolis et à l’extrait d’échinacée aide nos dents à rester saines. Le carbonate de calcium et l’acide silicique luttent efficacement contre la plaque dentaire. Un brossage régulier des dents aide à supprimer la plaque dentaire, principale responsable de l’apparition des carries, des parodontoses et du tartre. Les vertus du sel de mer et de différents minéraux associés aux extraits d’arnica, de myrrhe et d’achillée millefeuille présents dans ce dentifrice sont garantes du bon équilibre de la flore bactérienne de votre bouche. Son pH permet de neutraliser les acides qui endommagent les dents et risquent d’attaquer l’émail qui les protègent.
Ce dentifrice aide efficacement à lutter contre le tartre et à l’éloigner en douceur. De part ses qualités antiseptiques et anti bactériennes de la Propolis et de l’Echinacéa, il vous garanti une excellente hygiène buccale. Son Ph, neutralise les acides buccaux nocifs aux dents et aux gencives. Ainsi il aide efficacement à lutter contre les carries et contre la parodontose.
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Je vous ai retranscrit un extrait de quelques notes prises lors d’une conférence fort intéressante il y a de ça 2 ans à Marseille par un praticien dentaire holistique sur l’importance du système neurovégétatif et les déséquilibres sur celui ci que pouvaient entrainer la présence de foyers infectieux ou d' »épines irritatives » selon les termes du Dr Koubi dans son livre « les dents c’est la vie ».
Sur les relations entre santé dentaire et santé générale, le Dr Koubi Chirurgien Dentiste, qui exerçait du côté de Nice a édité 2 livres sur la relation entre santé générale et dentaire et certains problèmes comme les cavitations qui pouvait entraîner d’autres problèmes à distance. Inversement y a une grande partie des problèmes parodontaux qui sont dus à des problèmes de terrain.
Certains appareils électroniques sont capables de mettre en évidences les déséquilibres du système neurovégétatif.
Avec les appareils de mesure d’impédancemétrie au niveau du corps comme l’apareil Mora on peut faire des mesure précises et prouver les choses et communiquer avec le patient.
On peut aussi s’aider de l’Electrophysiologie kirlian
Incidence dents et santé :
Qu’est ce que c’est qu’une toxémie ?
C’est une intoxication des cellules de l’organisme qui peut provenir d’une autointoxicatioon c’est à dire qu’on a dépassé les ressources de l’organisme qui n’est plus capable d’éliminer par les orgames les éléments néfastes.
On a une toxémie
-soit d’ordre endogène par le fonctionnement des cellules du corps qui libère des sous produits de dégradations.
-Soit d’ordre exogènes qui proviennent de l’alimentatioin ou autre d’alimentatin transformé de colorants produits de synthèse pesticides.
Si la quantité dépasse le seuil de tolérance du corps (Foier rein intestion) lorsque cette quantité dépasse les capacité le seuil de tolérance il va y avoir une réaction du système neurovégétatif qui va déclencher des symptomes et douleurs diverses.
Il y a des symptomes connus comme constipation dhyarrée, nausée…
Quelles sont les grandes fonctions du système nerveux autonome, il va gérer l’homéostasie du corps, (transpiration digestion, fonctionement des organes et aussi et il ne faut pas l’oublier la cicatrisation, l’immunité, l’inflammation, les taux d’hormone, la douleurs et l’élimination des toxines…. Il n’y a pas que lui qui gère tout cela mais c’est un acteur essentiel de cette gestion.
Ce shéma est très intéressant et il sert à dialoguer avec le patient
Le système Neurovégétatif est constitué par une chaine de ganglion tout le long de la colonne vertébrale et qui forme une chaine ganglionnaire et plusieurs extensions nerveuses partant de ces ganglions vont arriver aux différents organes, chaque ganglion formant un étage ganglionnaire.
Dans ce système nerveux il y a le sympathique qui est accélérateur et l’autre freinateur. (On simplifie un peu les choses volontairement)
Lorsqu’on a un ganglions nerveux de l’étage ganglionnaire qui est touché (et nous en tant que dentiste on est concerné par l’étage gérant les problèmes de la sphère bucco-dentaire), le ganglions en question va manifester à l’ensemble de la chaîne son mécontentement.
Quels sont les mécanismes qui perturbent ce systèmes ?
-Les intoxications
-Les champs électromagnétiques anormaux
-L’inflammation
-L’infection
-Le stress psychologique. La psyché intervient au niveau du système neurovégétatif au même titre qu’une irritation physique puisque en fait, c’est l’hypothalamus qui va jouer le rôle de relais. Il gère les informations qu’elles soient physiques ou psychique de la même manière c’est à dire qu’il va provoquer un état de stress et décharger des hormones ect…
Il est important de voir si dans l’environnement du patient il n’y a pas des évènement marquant qui ont chamboulé sa vie et qui peuvent engendrer des problèmes somatiques.
Mais ça peut aller dans l’autre sens, c’est à dire qu’un stress physique pourra provoquer un état psychosomatique manifestement perturbé et l’on voit fréquemment des gens qui retrouvent un équilibre de vie simplement lorsqu’on agit sur le foyer perturbateur.
Quels sont les différent facteurs qui agissent sur le système neurovégétative dont nous devons tenir compte en tant que dentiste ?
Les dents, l’environnement, la pollution, les mauvais rythmes de vie, l’alimentation, un mauvais équilibre acido-basique, la posture et la réaction des chaînes posturales, les problèmes d’oxygénation. On est dans un monde où les gens ne sont manifestement pas suffisamment à l’extérieur, les cicatrices qui sont faites dans le corps et qui peuvent irriter le systèmes neurovégétatif, certaines vaccinations et puis évidemment les parasites bactéries, virus qui sont une sources d’attaques contre le système neurovégétatif. A ceci, il faut rajouter l’affect.
Le stress est transmis jusqu’au cerveau au niveau de l’hypothalamus et puis on va avoir soit une adaptation avec santé et bien être (ce ne veut pas dire qu’il n’y a rien qui se passe) mais cela veut dire que le patient se sent en bonne forme et que pour le moment il est capable d »encaisser » les choses.
Lorsqu’on a dépassé les capacité d’adaptation de l’individu, c’est là qu’apparaît la maladie avec les symptômes et douleurs avec des données métaboliques physiologiques et psycho-émotionnelles qui commencent à être perturbées.
Comment peut on investiguer ce système neurovégétatif ?
On peut évidemment l’objectiver par l’électrocardiogramme, l’électromyogramme, l’électroencéphalogramme ,mais ils analyse de examens partiels du système neurovégétatif.
Hors il se trouve que avant de déclencher une maladie, il existe dans le corps une véritable guerre métabolique.? C’est à dire que le système neurovégétatif va être perturbé dans le corps pendant un moment et avant que la maladie ne se déclaré peut se dérouler plusieurs années.
Donc pour évaluer ce système il faut :
-analyser les conséquence de ce dérèglement sur les fonctions et les organes, tester le fonctionnement de chaque étage ganglionnaire et puis trouver les épines irritatives qui perturbent localement le fonctionnement de chaque étage ganglionnaire et le dérèglement des fonctions.
Si on veut être efficace dans notre approche de soins il faut avoir les outils capables de détecter les épines irritatives et faire le relationnel avec le déséquilibre de la personne.
Alors quels sont les examens qui nous permettent d’évaluer le dérèglement des fonctions et des organes.
Il y a bien évidemment les examens sanguins mais surtout l’examen protéomique sanguins qui est l’examen des protéines du sang et ce qui est très intéressant.
les protéines produites par le corps sont les acteurs des processus physiologiques et pathologiques siégeant dans notre organisme.
On sait qu’une légère modification quantitative ou qualitative d’un seul type de protéine peut suffire à déterminer un état pathologique.
En étudiant la hausse ou la baisse de certaines protéines dans le sérum du patient( au cours d’une prise de sang ) on recherche des modifications susceptibles de déterminer un état pathologique avant que tout symptôme de maladie n’apparaisse.
On obtient ainsi un véritable cliché de l’état de santé du patient à un moment donné qui va révéler ce qu’aucune radiographie ou analyse de sang ne peut montrer.
C’est une analyse reconnue de manière officielle par le monde médicale depuis 5-6 ans par le monde médicale. Ces protéines du sang sont indispensable pour que les gènes des chromosomes du corps puissent s’exprimer et pour pouvopir valider les théories sur le génomes avancées depuis plusieurs années, les scientifiques ont été obligés de valider les hypothèses et les travaux réaliser sur le protéome sanguin.
On peut ainsi de cette manière déceler un déséquilibre chez un patient en apparente santé grâce au protéome sanguin.
-Le vert : infection aiguë
-Les bleus et violet corresponde au système immunitaire
Quand on voit acétate de cuivre dans les valeurs hautes que ce soit à droite ou à gauche on peut quasiment être sur qu’une des origines de la décompensation du patient est d’origine dentaire. On peut ainsi valider l’hypothèse selon laquelle il y aurait un tropisme dentaire dans la pathologie de la personne.
Si par exemple on a des point bleus et violet dans des proportions faibles, on peut en déduire que le système immunitaire est en train d’être épuisé.
D’autres examens sont assez intéressants
. Le VEGA CHECK (analyse segmentaire)
· Le GDV du professeur Korotkov (effet Kirlian)
· Le système MORA (analyse des méridiens sous un autre angle)
Il y a également des tests kinésiologiques, la prise de pouls.
En iridologie, on peut voir certains organes surchargés en toxines et les mauvais habitude de vies prises par le patient
Le bilan informatisé protéomique utilisé conjointement avec l’appareil MORA reste toutefois le procédé le plus pragmatique.
Ce dont on a besoin c’est d’un appareil de « biofeed back », un appareil qui va nous permettre d' »interroger » le corps sur ce qui ne va pas et après avoir neutraliser les épines irritatives, de réinterroger et de constater que le problème a disparu.
On pratique l’examen MORA sur l’ensemble des méridiens d’un pieds et d’une main et on fgait des mesure successives.
50 représentant en MORA 100 kilo Ohm qui sur le plan de l’impédance représente la résistivité constante que l’on doit avoir avec ce type d’appareil.
Généralement les patients sont soit en dessus, soit en dessous soit en partie au dessus soit en partie au dessous.
Ce qui est intéressant et que lorsqu’on compare cet examen MORA au bilan informatisé, on s’aperçoit que lorsqu’on voit des valeurs sur le bilan informatisé (protéome) qui sont que du côté gauche en MORA thérapie, on va avoir des valeurs uniquement en bas (en hypo).
On voit qu’il y a une correspondance qui s’établie entre le bilan informatisé et l’examen MORA. C’est assez rassurant d’avoir différents examens qui par des procédés différents nous donnent des pistes communes.
Quand on a des valeurs à 50, le patient a un système neurovégétatif optimisé.
C’est alors seulement que les traitement en acupuncture homéopathie phythothérapie … seront vraiment efficace car le système va avoir du répondant au niveau de sa réponse.
On mesure avec le système MORA une 40 aine de points au niveau des mains et des pieds sachant que chaque doigt correspond à un étage ganglionnaire.
On prend ces mesure la première deuxième et troisième visite.
Une grande partie des problèmes au niveau du système neurovégétatif sont d’ordre dentaire.
Pourquoi les dents ? Parce que c’est dans la bouche que vous avez des choses qui se sont accumulés à la suite de traitements et qui ne son,t pas en accord avec le fonctionnement normal du corps.
On est à ce niveau avec des matériaux que l’organisme ne reconnaît pas et avec des soins qui perturbent l’organisme.
Du coup ces anomalies se manifestent 24h/24 et alourdissent le corps de manière chronique.
Comment les dents peuvent perturber le corps ?
Soit par voie nerveuse, soit par voie métabolique soit par voie biomécanique, soit par voie psycho-émotionnelle.
Les différentes perturbations d’origine dentaire que l’on peut retrouver en bouche sont les problèmes liés à la présence de différents métaux en bouche (électrogalvanisme), la corrosion électrochimique, les gencives infiltrés par des particules toxiques, les métaux toxiques diffusés dans la dent, des dents dévitalisées ou mortifiées, les dents vivante en inflammation avec ou sans douleurs, les dépassement de pâte d’obturation, les fractures de racines, les poches parodontales, les fragments de racines « oubliés » après extraction, les tache d’argyrose, qui sont es tâches noires que l’on voit dans la bouche lorsqu’il y a eut différents métaux (passés sous la gencive et parfois dans l’os), les cicatrices d’extraction, les pansement dentaires qui irritent la pulpe.
Il faut savoir qu’il existe beaucoup de pansement que l’ont met sur les dents qui pour le patient son complètement asymptomatique mais qui provoque dans la pulpe de la dent une inflammation. Et cela peut se voir au niveau des radios sur des dents qui présentent au bout de la racine de petites inflammations alors que la dent est tout à fait saines et cela est du au composite iou au pansement en contact avec la dente te que la dent ne tolère pas.
Le tartre sous les gencives est également perturbateur ainsi que les dents de sagesse enclavée qui générent des également des poches inflammatoires lorsqu’elle sont bloquées au cours de leur éruption.
Il y aussi les compression meniscales au niveau des condyles générées par des problèmes occlusaux lors d’abrasion des dents qui engendre une perte de hauteur d’occlusion, ou lors d’interférences occlusales
On peut avoir un stress du système neurovégétatif à cause d’une mauvaise occlusion.
On peut également avoir un stress de ce système à cause de compression dues à des prothèse inadaptées. (partielles ou complètes)
On peut donc dire que lorsqu’on travaille dans la bouche et qu’on ne respecte pas les règles de la physiologie du corps, on fabrique des pathologies.
Un praticien dentiste, J. Orsatelli a fait à Marseille une thèse en 1976 intitulée De l’identification de groupes réactionnels interdentaires et de quelques applications en thérapeutique médicale ».
Il s’agit d’une thèse de troisième cycle (qui permet d’avoir accès au professorat, elle est différentes de la simple thèse d’exercice au titre de chirurgien dentiste).
Ce dentiste avait accès en même temps aux dossiers médicaux à l’hôpital et était dentiste conseil à la sécurité sociale.
Donc il avait accès au panoramique dentaire et à la bouche des patients et aux problèmes médicaux généraux des patients.
Son étude portait sur 5574 cas sur 20 ans.
Il en a tiré une cartographie sur les relations dents organe.
Lorsque l’on fait un examen MORA qui détermine qu’il y a un problème sur tel dent, que le patient a un problème de douleurs quelques part ce tableau peut nous être utile poru orienter notre diagnostic même si tout n’apparaît pas ou alors les choses apparaissent mais pour une autre dent.
En effet, les dents interfèrent sur le reste du corps par voir nerveuse, hormonale, immunitaire… etc…
Lorsqu’il y a une incidence de la dent sur le corps par voie nerveuse directe on rentre dans le cas de ce tableau de cartographie.
Quand l’organisme considère quelque chose comme « néfaste » pour lui : lors d’une inflammation périapicale, pour une dent de sagesse incluse, ou un débris radiculaire, les ostéoclastes vont toujours tenter de « grignoter » ce qu’il considère comme un corps à éliminer.
C’est vrai pour l’os périradiculaire, mais également pour le cément qui recouvre la racine et qui protège la dent.
Une fois que cette couche aura été atteinte cela va entraîner un déversement des
Si la dent est infectée la perte de cette couche externe va permettre de déverser l’infection via les canalicules dentinaires dans l’ensemble de l’organisme.
La radiographie à elle seule ne peut pas faire le lien entre le déséquilibre du système nerveux autonome et les dents.
On a trop tendance à se focaliser dessus de manière aveugle.
En quoi les métaux en bouche perturbent le système neuro-végétatif ?
C’est du à la corrosion qui va entraîner la dispersion de produits toxiques dans le corps qui vont être ingérés puis disséminés dans le corps.
Des courants électriques vont déclencher des influx et ces influx nerveux vont agir au niveau du tonus musculaire.
A ce propos, sachez qu’il est déconseillé de procéder à un rééquilibrage occlusal si il y a ce type de phénomène avec plusieurs métaux en bouche qui vont agir sur le tonus musculaire de certains muscles manducateurs.
Les potentiel des cellules sont de l’ordre de 60mv.
Dans la bouche on va parfois jusqu’à 1 volt.
On peut avoir des spasmes musculaires intraitables à cause de ce phénomène.
Ces courants électriques peuvent dépolariser les membranes des cellules dans la bouche.
Chaque membrane a un côté + et un côté -. Cette polarisation sera alors inversée.
Ca empêche alors les échanges ionique de se faire (calcium, le magnésium etc…)
Cela empêche également les cellules de se dépolluer.
Les cellules qui ont des métaux lourds a sortir ne vont pas pouvoir le faire car le sens de polarisation de la membrane a changé.
Sur une échelle de potentiel, le titane et l’or sont à l’opposé. Si on veut faire une pile c’est le meilleur moyen !
Il y a quelques années, certains implants en titane contenait des vis en or (Branemark).
Pour les implants, les fabricants se sont surtout intéressés au problème d’allergie, au problème de longévité, à la biocompatibilité, l’ostéointégration mais jamais sur les conséquence à long terme dans l’os.
Ce qui peut être toléré au niveau de l’os par le corps ne veut pas dire qu’au niveau physiologique cela ne pose aucun problème.
La couche de passivation qui est censé permettre l’ostéointégration, pourrait se révéler néfaste sur le plan général si les ostéoclastes altérant cette couche dissémine le métal dans l’organisme.
Les implants en zircone (acide) peuvent être attaqués par la salive (basique) et passer sous forme ionique dans l’organisme…
L’or dentaire n’est pas pur. Il contient des métaux qui peuvent attaquer certains organes.
Concernant le phénomène de pile, il peut y a voir des sensibilités, des goût métalliques
D’amalgame à or il y a aussi des soucis, le mercure est encore mieux absorbé par l’organisme.
Une étude de la Fac de Toulouse a montré que dans les vaisseaux sanguins qui jouxtent une couronne dentaire on peut retrouver des particules.
La neutralisation des tâches d’argirose peuvent permettre au système neurovégétatif de se rééquilibrer.
On les retirer avec une anesthésie locale.
Après décollemet on regarde si ces tâches sont au niveau de la couche interne (au niveau du périoste, si c’est le cas on enlève le périoste)
Parfois tout est imprégner y compris l’os qui comporte des petites limailles. il faudra alors cureter l’os.
La toxicité des métaux en bouche est reconnu par l’institut Pasteur. C’est un article qui est paru dans l’Information dentaire de 1996.
Normalement, on ne devrait plus poser de métaux en bouche ni Nickel, Mercure, Cobalt… etc…
Selon cet article, ils présentent des propriétés cancérigènes et mutagènes.
Dans l’or on trouve du Palladium qui entraîne des pathologies au niveau gynécologiques.
Lorsque l’or est coulé, tout ce qui concerne le métal pur or se concentre à l’intérieur du matériaux et les particules non précieuses se trouvent à l’extérieur du matériaux.
On peut le constater lorsqu’un inlay en or se descelle, il laissera une couche noire à l’intérieur de la cavité.
50% de mercure, de l’argent, du cuivre, du palladium…
Il faut faire la différence entre un oligo métal et un métal
Un oligo métal va permettre d’être utilisé par la cellule au niveau métabolique.
Le métal, le corps n’a qu’une envie c’est de le parquer quelque part ou des tumeurs pourront se développer, des parasites pourront se mettre .
Dans les
Le Cadmium contenu dans les amalgames peuvent entraîner de l’hypertension
Le mercure peut être absorbé par le corps
-en l’avalant
-en le respirant
-en étant resorbé en passant par tatouage
-en passant dans la circulation sanguine.
En 1995 a eut lieu en Allemagne un procès retentissant contre le gros fabricant d’amalgames allemand Degussa a eu un retentissement mondial chez les fabricants d’amalgames.
1500 personnes, considérant que leur santé aurait été altérée par les amalgames dentaires comme ceux fabriqués par la firme Degussa, portent plainte contre cette firme.
Ils se basaient sur le rapport d’expertise des toxicologues de l’Université de Kiel (Wassermann et coll., 1997), sur mission du Parquet du Tribunal de Grande Instance de Francfort, rapport finalement rendu public malgré les tentatives de la firme et de l’administration allemande de le conserver confidentiel.
La libération de mercure par les amalgames et l’absorption de ce dernier sont clairement établis, ainsi que son stockage dans des organes-cibles : reins, foie, cerveau (organe dans lequel il est piégé avec une demi-vie de 20 ans). Les vapeurs de mercure inhalées passent immédiatement dans le cerveau.
Ces faits incontestables sont en partie connus depuis les années 1930.
La question de savoir si l’absorption du mercure des amalgames est dangereuse est délicate (les troubles décrits sont répandus et peuvent être attribués à d’autres causes ) ; mais l’expertise a montré que sur plus de 10 000 études scientifiques sérieuses sur le sujet, un bon nombre décrit très concrètement le danger des amalgames et met en garde contre son utilisation.
Les médecins ayant pris en charge des patients porteurs d’amalgames ont pu établir en règle générale une multiplicité des symptômes, souvent d’ordre psychiatrique. Ces troubles ont régressé après la dépose (précautionneuse) des amalgames et l’administration d’un chélateur (le taux de 80% d’améliorations ou de guérisons semble indiquer que l’effet placebo dû à la dépose est peu important).
Il est certain que les amalgames constituent un danger non négligeable pour la santé humaine.
La firme Degussa est accusée de négligence car il n’y a pas de doute que les responsables connaissaient les dangers des amalgames ; d’ailleurs un collaborateur compétent de cette firme avait déjà en 1955 mis en garde contre les dangers des amalgames.
Afin d’éviter les poursuites judiciaires, un arrangement a eu lieu entre la firme et l’administration judiciaire d’une part, entre la firme et les plaignants d’autre part :
– la firme Degussa , pour avoir masqué la toxicité des amalgames dans sa publicité spécialisée, a dû verser à l’état 300.000 DM (à des fins de recherche).
– la firme a dû verser aux plaignants 1,5 millions de DM.
Conclusion du Procureur de la République Fédérale d’Allemagne
– Les firmes continuant à fabriquer des amalgames doivent avertir distinctement leurs clients des dangers des amalgames. […]
– Les dentistes doivent avertir leurs patients du risque présenté par les amalgames ; le dentiste qui omet ou minimise cette obligation d’information s’expose à en subir les conséquences légales.[…]
– La question de l’interdiction totale des amalgames par voie légale pourrait se poser dans l’avenir[…]
– Quiconque dans le futur estimerait pouvoir renoncer à mettre en garde par une notice d’accompagnement ou par une information suffisante les patients serait pénalement responsable, que ce soit à titre de fabricant ou de médecin, des dégradations de santé subies par ses clients ou ses patients.
– La responsabilité pénale des caisses de remboursement reste en discussion.
Désormais
L’entreprise Degussa ne fabrique plus d’amalgames, mais seulement des composites et des métaux précieux.
Les fabricants d’amalgames ont compris que le vent avait tourné : depuis le procès, la plupart d’entre eux produisent une liste impressionnante d’avertissements concernant l’usage et la toxicité des amalgames, afin de se protéger contre de futures plaintes.
Par ailleurs, une notice d’information sur la toxicité des amalgames est désormais affichée dans les cabinets dentaires allemands : les citoyens allemands sont donc désormais mieux informés que les citoyens français de la présence d’un métal dangereux dans les amalgames et de ses effets potentiellement délétères.
Cependant, malgré l’exemplarité de ce procès, les amalgames ne sont toujours pas interdits en Allemagne : ils y sont seulement soumis à une restriction pour les enfants et les femmes enceintes. Il est alors bien difficile de parler de victoire.
Enfin et surtout, les scientifiques de l’université de Kiel auteurs de l’expertise toxicologique ont été étrangement remerciés pour l’excellence de leur travail : leur unité de toxicologie indépendante a été démantelée en 2000…
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Amalgames dentaires : un facteur de risque de la maladie d’Alzheimer ?
Ecrit par Dr Biodentiste, classé dans AMALGAMES. Pas de commentaire.
Selon André PICOT, toxicochimiste, Directeur de Recherche au CNRS et Président de l’Association Toxicologie Chimie de Paris (atctoxicologie.free.fr) et Marie GROSMAN, agrégée de sciences de la vie et de la Terre, co-présidente de l’association » Non Au Mercure Dentaire « , il existe donc une forte probabilité pour que le mercure des amalgames soit un facteur étiologique majeur de la maladie d’Alzheimer (et des autres pathologies neurodégénératives) :
– L’incidence de la maladie d’Alzheimer est en progression dans les pays industrialisés, et est plus élevée dans les populations utilisant l’amalgame depuis des décennies.
– Le cerveau des porteurs d’amalgames subit une exposition au long terme à de faibles doses de mercure métallique, neurotoxique avéré. L’imprégnation
mercurielle du tissu cérébral est surtout corrélée au nombre d’amalgames, et augmente peu à peu au cours de la vie.
– Le cerveau et le sang des personnes souffrant de la maladie d’Alzheimer contiennent davantage de mercure inorganique que ceux des personnes non atteintes.
– L’exposition à de faibles doses de mercure métallique entraîne dans le cerveau un ensemble de perturbations cellulaires caractéristiques du syndrome Alzheimer.
-Le méthylmercure inhibe la synthèse de l’acétylcholine, un neurotransmetteur essentiel, provoquant perte de mémoire à court et long terme, difficultés de concentration, dysfonctionnements cognitifs, anomalies de la démarches et problèmes de coordination, perturbations visuelles et auditives, par exemple, cécité et surdité, diminution et /ou égarement des sens du toucher et de l’odorat, discours inarticulé, picotements et engourdissements des extrémités, particulièrement des mains et des pieds, tremblement de la tête et des membres, faiblesse et fatigue…
– Tous les porteurs d’amalgames sont exposés aux vapeurs de mercure, mais seules les personnes possédant des mécanismes de détoxication métallique peu efficaces ont un risque élevé de développer la pathologie.
D’autres éléments-traces toxiques comme le plomb potentialisent les effets du mercure
sur le système nerveux central. Un récent article de Monnet-Tschudi et collaborateurs constate l’existence d’un corpus considérable de preuves que les métaux dits lourds (en particulier le mercure et le plomb) seraient impliqués dans l’initiation de maladies neurodégénératives, et souligne l’importance de prendre des mesures préventives. P. Grandjean et P.J. Landrigan, dans un article de décembre 2006 qui a eu un grand retentissement dans la communauté scientifique, déplorent le niveau trop élevé de preuves requis avant de décider de l’interdiction d’une substance chimique, alors même que ses effets neurotoxiques sont bien connus, comme c’est le cas du mercure élémentaire et du cation méthylmercurique. P. Schofield, un neuropsychiatre australien, rappelle que les mécanismes de dégénérescence démarrent à des âges relativement jeunes, et que les stratégies préventives optimales des démences consisteraient à éviter les expositions aux substances toxiques dès le plus jeune âge .
La grande et longue étude prospective qui serait nécessaire pour prouver la relation de cause à effet entre une exposition au mercure et la Maladie d’Alzheimer est extrêmement difficile à mettre en place. Par comparaison, établir le lien entre tabagisme et cancer du poumon (et autres pathologies associées) fut un peu plus simple : la fréquence du cancer pulmonaire ayant considérablement augmenté au cours de la première moitié du vingtième siècle, chez les hommes seulement (les femmes jouaient alors le rôle de « témoins »), il fut possible d’établir
un lien avec l’augmentation du tabagisme masculin qui avait précédé cette « épidémie ». Il est beaucoup plus délicat de mettre en évidence une corrélation significative entre telle ou telle maladie et une exposition au long terme aux vapeurs de mercure, étant donné que toute
la population (du moins dans les pays développés) est exposée au mercure des amalgames (souvent dès le stade embryonnaire) : trouver un effectif suffisant de personnes jamais
exposées aux amalgames (population « témoin ») tient de la gageure.
Pourtant des preuves scientifiques existent bel et bien : Hendrie et ses collaborateurs ont mesuré l’incidence de la Maladie d’Alzheimer chez des Africains du Niger (les Yoruba) et chez des afro-américains (AA), 2 populations génétiquement proches : ces 2 populations présentent toutes deux une fréquence comparable et élevée d’allèles APOE4 (26 à 29%) (2). Pourtant, l’incidence annuelle de la Maladie d’Alzheimer – standardisée en fonction de l’âge – est plus de 2 fois plus élevée chez les AA (2,52%) que chez les Yoruba (1,15%), mettant en évidence l’importance de facteurs environnementaux (3). On observe donc que dans ces deux populations génétiquement comparables, c’est la plus exposée au mercure dentaire (les afro-américains des USA) qui a le plus de risques de développer une Maladie d’Alzheimer. Les adultes Yoruba n’ont eux quasiment pas de dents obturées par des amalgames. Les caucasiens des Etats-Unis, qui possèdent une fréquence moyenne d’allèles APOE4 * beaucoup plus faible que les AA ( 13 à 16% : 1, 4 ; 5), ont un risque moins élevé que les afro-américains de développer cette pathologie (19,2 versus 34,7) (6) : les Afro Américains, possédant en moyenne moins de possibilités d’éliminer le mercure que les blancs américains, ont ainsi plus de risques qu’eux d’être atteints, pour une exposition comparable au mercure. Il existe d’autres susceptibilités génétiques à la maladie d’Alzheimer, comme la plus ou moins grande capacité à synthétiser des métallothionéines en réponse à une exposition au mercure. Ces protéines, dont la principale fonction est le transport du zinc et du cuivre, sont capables, en chassant ces oligoéléments, de fixer fortement les cations mercuriques présents dans le cerveau, permettant ainsi leur élimination. Cette variabilité génétique peut aussi expliquer l’inégalité devant une exposition mercurielle comparable (6). Un polymorphisme dit BDNF (brained-derived neurotrophic factor) semble aussi jouer un rôle dans la vulnérabilité à une exposition mercurielle à long terme (7).
Les chercheurs du laboratoire de recherche de Judes Poirier, au Centre d’études sur le vieillissement de McGill, ont également identifié ce gène défectueux qui sécrète l’apolipoprotéine E de type 4 (ApoE4), empêchant le transport du cholestérol vers le cerveau et favorisant l’apparition de la maladie d’Alzheimer. Ce gène anormal favorise non seulement le déclenchement de la maladie, mais il peut aussi interférer considérablement sur la réponse de patients atteints de la maladie d’Alzheimer aux médicaments destinés à renforcer la mémoire.
Cette découverte est susceptible de faire avancer le diagnostic de façon importante et de permettre le développement de traitements personnalisés beaucoup plus efficaces grâce à la pharmacogénomique, ou étude de la constitution génétique des patients, et à la manière dont celle-ci freine ou accroît l’efficacité des médicaments.
« Nous avons incontestablement mis le doigt sur le facteur de risque génétique le plus important de la forme courante de la maladie d’Alzheimer », précise Judes Poirier.
Judes Poirier travaille avec les sociétés dérivées de McGill pour élaborer un médicament de nature à compenser la baisse du taux d’ApoE4 chez les patients porteurs de ce gène défectueux. Il espère ainsi retarder l’apparition de la maladie d’au moins cinq ans.
Au cours de la dernière année, dans deux articles rédigés par des chercheurs provenant d’importantes universités, on pouvait lire que le mercure, et uniquement le mercure, pouvait être la cause des deux traits pathologiques les plus importants au plan du diagnostic de la maladie d’Alzheimer. Il faut également ajouter que le mercure agit de cette façon même à des concentrations nanomolaires. Il s’agit donc là de concentrations qui sont inférieures ou presque similaires à celles que l’on mentionne dans la plupart des comptes rendus qui font état d’analyses effectuées sur les taux de mercure retrouvés dans le cerveau humain. Il faut d’abord dire que même à un très faible taux (10-9), le mercure entraîne une augmentation de la sécrétion de la protéine amyloïde (qui compose les plaques séniles ou amyloïdes) et de la phosphorylation de la protéine tau (voir Oliveri et coll., J. of Neurochemistry, V. 74, p. 231, 2000) et il est également responsable de la formation d’enchevêtrements neurofibrillaires (Leong et coll., NeuroReports, V. 12 (4), p. 733, 2001). Des neurones en culture ont permis aux chercheurs d’en arriver à ces observations qui permettent d’établir le diagnostic de maladie d’Alzheimer. En outre, dans un article publié récemment par le Dr Ashley Bush dans le périodique Neuron, on laisse entendre que la maladie d’Alzheimer pourrait être attribuable à une accumulation de métaux lourds. Cet article porte principalement sur la chélation du zinc et du cuivre, ce qui a pour effet de réduire la formation de plaques amyloïdes chez les rats (le mercure n’a pas fait partie de l’étude). Cependant, ces métaux, tout comme c’est le cas pour le mercure et l’argent, peuvent se retrouver dans les amalgames dentaires. La majeure partie des données de cette étude vient confirmer celles qui ont été publiées précédemment dans certains articles, mais qui sont résumées dans un seul article (Pendergrass et Haley, Metal Ions in Biological Systems, V. 34, chap. 16, Mercury and Its Effects on Environment and Biology, Siegel and Siegel EDS, Marcel Dekker, Inc. 1996). Ces données permettent donc de révéler que l’ajout de très faibles quantités de mercure à des homogénats de cerveau humain entraîne l’inhibition d’enzymes importantes (créatine kinase, glutamine synthétase et tubuline). Il est à noter que, dans le cerveau des personnes souffrant de la maladie d’Alzheimer, l’inhibition de ces enzymes est également très marquée. La conclusion qui s’impose alors est la suivante : toute exposition au mercure ou aux composés qui en contiennent vient exacerber la maladie d’Alzheimer et on peut même dire qu’une exposition chronique à de faibles quantités de mercure pourrait être la cause de cette maladie.
Il est très difficile de prouver que le mercure ou les composés organo-mercuriels sont à la source d’une maladie spécifique que l’on peut identifier à l’aide des symptômes qu’elle provoque. La raison en est le nombre élevé de variables confusionnelles présentes dans notre environnement. Cependant, puisque des enfants souffrent d’autisme et de troubles apparentés et que de nombreuses personnes âgées sont atteintes de la maladie d’Alzheimer, nous pouvons déterminer qu’ils ont franchi la mince ligne rouge qui mène aux troubles neurologiques. Il ne fait pas l’ombre d’un doute que l’utilisation du mercure dans la médecine et l’art dentaire, particulièrement si elle est prolongée et excessive, est en grande partie responsable de ce fait.
Le docteur Hyman Schipper s’intéresse aux mécanismes qui causent le vieillissement et la dégénérescence des cellules nerveuses. Il a mis au point un modèle cellulaire permettant d’étudier les mécanismes neurotoxiques attribuables à une exposition faible mais chronique aux métaux. Ses travaux ont montré que l’ajout de cystéamine aux cellules gliales en culture (in vitro) et dans le cerveau de rat (in vivo) accélère le vieillissement. Le chercheur a démontré plus précisément que les membranes des mitochondries des astroglies vieillissantes (des cellules cérébrales non neuronales) sont plus susceptibles d’accumuler des métaux tels que le fer, le cuivre ou le chrome. Ces métaux pourraient ensuite générer des produits oxydants et causer ainsi des dommages ultérieurs aux cellules environnantes.
Les plus récents travaux du docteur Schipper portent sur l’exposition faible mais chronique au mercure, un type d’exposition comparable à celui provenant d’un amalgame dentaire ou de l’ingestion de poissons contaminés. Ces résultats préliminaires indiquent que les membranes des mitochondries des astroglies accumulent le mercure, de la même façon qu’elles le font pour le fer et le chrome. Le chercheur tente maintenant de vérifier si les effets observés sont aussi médiés par un stress oxydatif intracellulaire. Le docteur Schipper souhaite ensuite développer un modèle animal pour étudier la neurotoxicité du mercure des amalgames dentaires. Mentionnons que les principaux travaux du chercheur portent sur la séquestration du fer par les astroglies et sur leur rôle dans la maladie de Parkinson et autres maladies neurodégénératives.
Il est donc ici indispensable d’appliquer le principe de prévention : les effets toxiques du mercure élémentaire (comme ceux du cation méthylmercurique) sont bien connus, et le faisceau d’arguments scientifiques concernant le lien entre neurodégénérescences et exposition au mercure des amalgames extrêmement convaincant. Il existe désormais suffisamment de données concernant les effets toxiques dus à l’exposition au mercure élémentaire du système nerveux central, pour que l’on fasse cesser de toute urgence l’usage du mercure dans les soins dentaires afin de lutter contre le fléau sanitaire et social que représente la maladie d’Alzheimer (ainsi que d’autres pathologies dans lesquelles le mercure peut être impliqué : autres maladies neurodégénératives, autisme, maladies dites autoimmunes et/ou inflammatoires : syndrome de Goujerot-Sjögren,
maladie de Crohn,…, maladies cardiovasculaires, certains cancers,…). A l’avenir, il est indispensable de mettre en place au niveau européen des tests de toxicité pour tout matériau dentaire (tests de cytotoxicité, immunotoxicité, génotoxicité, tératogénicité,…) avant toute mise sur le marché, afin de protéger la population. L’innocuité devrait désormais devenir le premier critère de choix d’un matériau dentaire, comme elle aurait toujours dû l’être…
1 : Number of dementia sufferers in Europe between the years 2000 and 2050.
Wancata J, Musalek M, Alexandrowicz R, Krautgartner M. Eur Psychiatry. 2003 Oct;18(6):306-13
2. Alzheimer’s disease, genes, and environment: the value of international studies.
Hendrie HC, Hall KS, Ogunniyi A, Gao S Can J Psychiatry. 2004 Feb;49(2):92-9
3. Lessons learned from international comparative crosscultural studies on dementia. Hendrie HC
Am J Geriatr Psychiatry. 2006 Jun;14(6):480-8
4. Apolipoprotein E (APOE) allele distribution in the world. Is APOE*4 a ‘thrifty’ allele?
Corbo RM, Scacchi R Ann Hum Genet. 1999 Jul;63(Pt 4):301-10
5. Apolipoprotein epsilon4 allele frequency in young Africans of Ugandan descent versus
African Americans. Willis F, Graff-Radford N, Pinto M, Lawson L, Adamson J, Epstein D, Parfitt F, Hutton M, O’Brien PC.
J Natl Med Assoc. 2003 Jan;95(1):71-6.
6. Metallothionein-I and -III expression in animal models of Alzheimer disease. Carrasco J, Adlard P, Cotman C, Quintana A, Penkowa M, Xu F, Van Nostrand WE, Hidalgo J. Neuroscience. 2006 Dec 28;143(4):911-22. Epub 2006 Oct 4
7. Chronic low-level and motor function. Echeverria D, Woods JS, Heyer NJ, Rohlman DS, Farin FM, Bittner AC Jr, Li T, Garabedian C.
Neurotoxicol Teratol. 2005 Nov-Dec;27(6):781-96
* à propos de l’APOE
Les effets toxiques d’une exposition mercurielle seront beaucoup plus importants si les mécanismes de détoxication du mercure sont insuffisants. Ces mécanismes sont sous la dépendance de gènes spécifiques, de mieux en mieux étudiés. Le polymorphisme du gène de l’apolipoprotéine E (APOE) constitue un facteur de susceptibilité génétique bien connu dans la MA. Ce gène existe sous 3 formes (ou allèles) : APOE2, APOE3 et APO4. Les porteurs des 2 allèles APOE2 sont les moins exposés au risque de développer la MA, alors que ceux qui possèdent 2 APOE4 ont un risque maximal. Farrer et coll. ont ainsi, dans une méta-analyse, évalué que les caucasiens homozygotes pour APOE2 ont 25 fois moins de risques de développer la MA que les caucasiens homozygotes pour APOE4 (OR =0,6 vs 14,9) Fitzpatrick et coll. ont estimé que l’incidence de la MA à 80 ans pour les homozygotes APOE4 est de 56,4 (pour 1000
personnes-années), et de 29,6 au même âge pour ceux qui ne possèdent pas cet allèle. Le génotype APOE détermine en grande partie l’âge moyen de développer la maladie et le risque en cas de troubles cognitifs légers. La possession d’allèles APOE4 est donc un facteur prédictif essentiel de la survenue de la MA dans les pays riches
Source Copyright : http://atctoxicologie.free.fr
Hyman Schipper, M.D., Ph.D.
Tél. : (514) 340-8260, poste 5588
czhs@musica.mcgill.ca
http://www.innovationcanada.ca
http://www.frsq.gouv.qc.ca/
http://autismemtl.iquebec.com/2002/haley_fr.html
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Relation pathologique Oeil Dents
Ecrit par Dr Biodentiste, classé dans SANTE DENTAIRE / GENERALE. Pas de commentaire.
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Voici, en un résumé succinct, un tableau récapitulatif des remèdes qui m’ont rendu les meilleurs services en médecine dentaire, avec un mot d’explication sur les modalités qui ont justifié leur emploi. Aconit , Ammonium carbonicum , Anacardium , Arnica , Arsenicum album , Belladonna , Bryonia , China , Calcarea Carbonica , Camphora , Causticum ,
Ferrum phosphoricum , Hepar sulfur , Ignatia , Kali muriaticum , Kali phosphoricum , Lachesis , Lycopodium , Magnesia phosphorica , Manganum , Mezereum ,
Natrum muriaticum , Nux vomica , Paris quadrifolia , Phosphorus , Pyrogenium , Rhus toxicodendron , Sepia , Spigelia , Silicea .
Une page intéressante pour les praticiens désireux d’inclure le traitement homéopathique dans leur prescription.
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Un nouveau dentifrice à base de « gentilles bactéries » ?
Ecrit par Dr Biodentiste, classé dans DENTIFRICES. Pas de commentaire.
Des chercheurs ont identifié une protéine responsable de l’inhibition de la croissance des bactéries responsables des caries dentaires. FruA, l’enzyme en question, est synthétisée naturellement par une autre bactérie buccale et pourrait faire partie des recettes des nouveaux dentifrices.
Les bactéries sont partout, même dans la bouche ! Parmi les 700 espèces qui ont élu domicile sur nos dents et notre langue, un environnement convoité car humide et chaud, certaines sont responsables des caries, ou encore de la mauvaise haleine. Mais certaines confèreraient à l’inverse une protection naturelle contre des maladies buccales ou contre la formation de la plaque dentaire… Un atout qui sera peut-être un jour exploité dans de nouveaux dentifrices.
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Publiée dans la revue Psychological Science, une étude britannique montre que le seuil de tolérance à la souffrance augmente lorsque l’on regarde la partie du corps endolorie. Un analgésique naturel qui pourrait déboucher sur de nouveaux traitements anti-douleur.
C’est en infligeant à 18 volontaires de vives brûlures à la main, et en manipulant un miroir destiné à montrer – ou non – aux « cobayes », l’image de leur membre ainsi traité, que le Pr Patrick Haggard de l’University College de Londres et ses collègues, ont découvert que l’organisme réduit naturellement la douleur éprouvée si le patient se focalise visuellement sur la partie du corps atteinte.
Mieux : plus l’image (montrée en temps réel) de la zone en souffrance est grande, plus la tolérance est marquée. La façon dont notre cerveau ressent la douleur est donc à la fois sensorielle et émotive. « Ce que ceci nous montre, c’est la grande plasticité de la manière dont le cerveau se représente la douleur. La vision affecte le sentiment de douleur », explique Francis McGlone, professeur en neurologie à l’université John Moores de Liverpool.
Peut-être une nouvelle piste pour de futurs traitements analgésiques. Et l’occasion en tout cas d’une recommandation ironique du Dr Haggard, à tous ceux qui doivent subir une prise de sang : « mon conseil serait donc de regarder votre bras, tout en essayant d’éviter de regarder l’aiguille… ».
http://www.maxisciences.com/douleur/neurosciences-regarder-l-endroit-douloureux-du-corps-reduit-la-souffrance_art12509.html
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Le bruit strident de la roulette qui se rapproche tout doucement de vos dents à soigner vous angoisse ? Un nouveau dispositif pourrait vous permettre de ne plus entendre du tout ce bruit anxiogène…. Du moins si vous disposez d’un lecteur MP3 !
Un dispositif innovant pourrait annuler le bruit de la fraise du dentiste, selon plusieurs experts anglais. Le principe ? Interposer entre le lecteur MP3 du patient et son casque un petit boîtier périphérique, qui va bloquer complètement le bruit désagréable du foret et de l’aspiration qui y est en général associée.
Pour parvenir à un tel résultat, ce boîtier utilise un micro et une puce, qui analyse l’onde sonore entrante. Le dispositif produit alors une onde sonore inverse pour annuler les bruits indésirables. De plus il comporte des « filtres adaptatifs », qui vont permettre de supprimer directement certains bruits stridents, même s’ils fluctuent en fonction de la vitesse de la roulette.
Résultat, au lieu de guetter la moindre accélération du rythme de la fraise et les changements de son liés à son avancée dans votre émail, vous pourrez tranquillement écouter vos morceaux préférés sur votre lecteur MP3. De quoi lever l’anxiété sur le fauteuil, surtout pour des gestes effectués sous anesthésie (donc sans douleur a priori).
Ce dispositif est testé depuis une dizaine d’années, mais n’est pas encore commercialisé. C’est pourquoi les experts du King’s College de Londres lancent un appel aux investisseurs, notamment via la diffusion de cette nouvelle.
Plus de douleur, plus de son strident, et si aller chez le dentiste devenait bientôt plus facile ?
Source : Jean-Philippe Rivière sur Doctissimo