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La « thérapie de l’huile est » une méthode qui agit sur la santé de la flore bucale, directement liée à la flore intestinale.
Elle serait couramment utilisée dans de nombreux pays, de l’Inde à l’Europe de l’est. Elle est particulièrement indiquée pour les personnes présentant des troubles dans leur écologie intestinale. Il faut la pratiquer un certains nombre de fois avant d’en sentir réelement les effets.

Le Dr. F. KARACH, a participé dans les années 1990 à une réunion des l’Associations d’oncologues et bactériologues de l’Ukraine. Il a expliqué à cette occasion ce procédé de guérison aussi extraordinaire que simple, basé sur l’huile de tournesol (ou de sésame d’après l’ayurvéda). Remarque : Estelle Vereeck, spécialiste de dentisterie holistique, nous confirme les bienfaits de l’huile de sésame sur la santé bucco-dentaire.
Les résultats de cette méthode suscitent étonnement et doute. Mais tout un chacun peut tester cette « thérapie à l’huile  » et ainsi expérimenter son efficacité. Il est étonnant de constater quels résultats peuvent être obtenus…
La base de cette méthode consiste dans un bain de bouche avec de l’huile. De cette manière, il est possible de détoxiner un certain nombres d’organes humains en même temps que contribuer à la bonne santé de la microflore orale (et intestinale).
Le brossage de dents au dentifrice élimine les particules qui restent sur les dents et tout ce qui est soluble dans l’eau. Le bain de bouche à l’huile, quant à lui, élimine les taches et les toxines qui sont liposolubles (solubles dans l’huile).

Procédure
1.Prenez une cuillère à café d´huile de tournesol ou moins, le matin en vous levant. Gardez l´huile dans la bouche environ 15-20 min. La salive s´y ajoute et la quantité de liquide dans la bouche augmente en conséquent. Donc ne prenez pas plus d´une cuillère à café au départ pour arriver à tout garder dans la bouche jusqu´à la fin
2.Pendant 15-20 min. faites circuler l´huile dans la bouche, faites-la passer entre les dents, puis à gauche, à droite, en haut, en bas. Epaisse au début, l’huile en présence de la salive se fluidifie et remplit la bouche.
3.Au bout de 15-20 min, recrachez le liquide. Il est d’un blanc laiteux et renferme un taux important de microbes provenant de la bouche. C’est la raison pour laquelle vous ne devez en aucun cas avaler l’huile, mais la cracher puis vous laver la bouche et recracher intégralement l’eau de rinçage.
4.Rincer à l’eau tiède (plus chaude que froide pour ne pas figer l’huile).
5.Se brosser les dents comme d’habitude.
Résultats

Au bout de quelques jours (cinq à vingt) vous pourrez commencer à observer les résultats suivants:
•Blanchiment des dents.
•Détartrage.
•Sensation de lissage des dents.
•Meilleur haleine.
Chez certaines personnes, l’effet semble nul, d’autres observent les effets au bout de deux à trois jours.

N’oubliez pas, après avoir craché l’huile usée, bien rincer la bouche et brosser les dents, car dans le liquide craché se trouvent une grande quantité de microbes et bactéries ; en regardant ce liquide avec un microscope (600x), on verrait des microbes dans leur premier stade de développement. Pendant le processus du rinçage, le métabolisme de notre corps s’accélère.Les glandes salivaires ont non seulement la fonction de digérer les repas mais aussi d´éliminer les toxines. De plus des foyers d´inflammation qui résident au niveau des racines des dents peuvent créer de façon inaperçue beaucoup de maladies chroniques. Le bain de bouche à l’huile est également très utile en cas de probèmes de gencive.
Lors de la thérapie de l´huile, l´huile de tournesol absorbe les germes résidant au niveau du collet et des gencives, les élimine conduisant ainsi à la disparition de foyers d´inflammation.

http://www.clesdesante.com/article-27327826.html
http://www.bienetrealcalin.com/psoriasis/autres-outils.php
http://www.holodent.com/article-21583850.html
http://www.atoute.org/n/forum/showthread.php?t=11102

De nos jours, en raison de nos habitudes alimentaires et de notre mode de vie, notre équilibre acido-basique est perturbé, et de plus en plus, nous tendons vers l’acidification.
Cette défaillance métabolique est l’une des plus répandue, mais aussi l’une des moins connue.
L’excès d’acides est stocké dans les tissus où il va agir à trois niveaux :

► En ralentissant l’activité des enzymes (qui ne fonctionnent qu’à un pH défini). L’acidification du milieu va rendre ces enzymes inefficaces. Sans certaines enzymes, il est impossible aux vitamines, aux minéraux ou encore aux hormones de remplir leurs fonctions. Toutes les réactions chimiques se produisant dans le corps humain dépendent des enzymes.

► En irritant et en encrassant les organes où ces acides s’accumulent créant ainsi une inflammation. Les cellules ne fonctionnent plus normalement, il y a une souffrance cellulaire, un vieillissement des tissus avec production de radicaux libres, de mauvais échanges, une auto-intoxication. On parle d’encrassement des tissus.
Le corps brûle sous l’effet des acides :douleurs musculaires, tendinites, peau qui se désséche…
L’encrassement : ces toxines et acides seront stockées , associées à de l’eau et des graisses pour former des dépôts résiduels. Chez la femme ils se transforment en cellulite, chez l’homme , c’est le trour de taille qui augmente.

► En provoquant une déminéralisation progressive des tissus. L’organisme tire les substances minérales dont il a besoin de la peau, des cheveux, des ongles, des os ,les articulations, mais aussi des dents qui ont alors tendance à devenir moins résisantes à la maladie carieuse.

Dès que le pH sanguin baisse, le phosphate de calcium du tissu se solubilise pour neutraliser les acides, lors de l’acidose chronique il y a pillage des réserves alcalines, ce qui amène une déminéralisation à l’origine d’un grand nombre de pathologies :caries, fractures spontanée, douleurs osseuses et articulaires, ostéoporose, atteinte des phanères (cheveux et ongles)…..

L’acidification de l’organisme s’accompagne égamelement au niveau buccal une baisse du ph salivaire salive acide ce qui entraine :
– l’érosion des dents
– l’apparition de caries dentaire,
– la gingivite (inflammation des gencives)
– le déchaussement des dents ou maladie parodontale en raison de la diminution de la densité osseuse (support des dents)

Le pH salivaire est normalement de 6,7. La consommation de sucres fermentescibles provoque la chute de ce pH : la destruction des sucres par certaines bactéries conduit à la production rapide d’acides qui passent dans la salive.

Cette acidité est favorable à l’initiation du processus carieux, à travers l’installation d’un environnement favorable aux bactéries cariogènes acidophiles et à la déminéralisation des tissus dentaires qui intervient aussi dans le processus d’érosion.

Les aliments peuvent être classés comme acidifiants ou alcalinisants, selon qu’ils laissent un résidu acide ou alcalin après leur digestion (alcalin est le contraire d’acide). L’indice le plus connu pour les classer est l’indice PRAL (de l’anglais « potentiel renal acid load ») : plus il est élevé, plus l’aliment est considéré comme acidifiant.

-Les aliments alcanisants : les légumes verts, la pomme de terre, carotte, tomate crue, vinaigre de pomme, noix, les amandes crues, les agrumes.
-Les alimens acidifiants : les sodas (les sodas « light » sont les pires), le sucre, la viande, les produits laitiers, le thé, le café, le chocolat, les produits à base de farine blanche raffinée.
Cela ne veut pas dire que vous devez éviter tous ces aliments : la plupart ont d’autres vertus qui compensent le fait qu’ils acidifient votre corps (sauf le sucre blanc, toujours mauvais). Mais limitez votre consommation de produits laitiers et de viande en faveur de grandes quantités de légumes crus ou peu cuits.

L’acidité peut enfin venir aussi d’un défaut d’élimination. On sait, par exemple, que le stress mal géré favorise l’acidification par le biais de réactions en chaîne. Comment évacuer les déchets acides de la façon la plus efficace possible ? L’élimination passe par l’exercice physique régulier, l’oxygénation, la transpiration, le repos, la calme et un sommeil suffisant pour laisser à l’organisme le temps d’un nettoyage suffisant.

Médecine fondée il y a plus de 200 ans par le Dr Samuel Hahnemann, l’homéopathie a souvent été sujet à controverse. Beaucoup de choses ont été dites à tort ou à raison à ce sujet. L’homéopathie est une médecine de l’individu, c’est-à-dire que ce qui importe le plus pour le praticien ce n’est pas le diagnostic de l’affection mais la façon dont va réagir le malade. Ainsi pour une même pathologie, les traitements seront différents suivant les patients et leurs réactions à la maladie. C’est ce qui fait l’intérêt de l’homéopathie mais aussi sa difficulté.
Que ce soit pour une simple extraction dentaire, une chirurgie parodontale ou implantaire, l’homéopathie peut être d’une aide précieuse pour le chirurgien dentiste. Tout d’abord en pré-opératoire pour traiter l’anxiété du patient. Suivant la façon qu’a le patient d’exprimer son angoisse, on utilisera différents remèdes. En per-opératoire pour enrayer une hémorragie : c’est un excellent test sur la rapidité d’action d’un remède homéopathique. Enfin en post-opératoire pour faciliter la cicatrisation, diminuer les douleurs ou bien éviter l’apparition d’œdèmes ou de saignement.

le point en vidéo sur une nouvelle discipline, la posturologie étudie les postures humaines et cherche à définir des protocoles de reprogrammation des habitudes posturales acquises, bonnes ou mauvaises, dans un but thérapeutique, professionnel ou sportif.
La posturologie concerne de nombreuses professions médicales et paramédicales comme la podologie, l’art dentaire (occlusodontie), l’orthoptie (rééducation oculaire, non de l’accomodation en posturologie mais des troubles de la convergence), médecins , kinésithérapeutes-physiothérapeutes et ostéopathes…

POSTUROLOGIE Ce que notre posture révèle par postural642433

Comme chaque année, le congrès de l’American Heart Association (qui se tient du 12 a 16 novembre à Orlando, en Floride) est l’occasion pour les spécialistes du cœur de faire le point sur les dernières découvertes en cardiologie. Cette année, il est prévu de mettre l’accent sur la prévention des maladies cardiovasculaires et le dépistage des facteurs de risques.

Parmi les nouvelles mesures de prévention, peut-être faudra-t-il un jour inclure des visites régulières chez le dentiste. Une étude taïwanaise présentée lors du congrès fait en effet état d’une diminution de 24% du risque de crise cardiaque et de 13% du risque d’accident vasculaire chez les personnes qui effectuent un nettoyage -et détartrage- des dents régulier (au moins une fois par an) chez le dentiste.

A prendre en compte, car l’étude a porté sur plus de 50.000 personnes pendant une moyenne de sept ans. L’existence d’un lien entre l’état dentaire et la santé cardiaque est connue depuis longtemps -il y a quelques années encore les futurs opérés à cœur ouvert devaient se faire arracher les dents- mais c’est la première fois qu’il est évalué ainsi.

Le nettoyage régulier des dents permettraient de diminuer la croissance des bactéries gingivales qui peuvent générer un état inflammatoire pouvant favoriser l’apparition d’une maladie cardiovasculaire. « Ces résultats ne sont pas surprenants car il y a de nombreuses études montrant une association entre l’inflammation et les maladies cardiaques », a déclaré le Dr Lawrence Phillips, cardiologue au Langone Medical Center (Etats-Unis) « Une bonne hygiène dentaire est recommandée pour tous les patients », a-t-il ajouté.

J.I.
Sciences et Avenir.fr
09/10/2011

http://www.sciencesetavenir.fr/sante/20111113.OBS4408/aller-chez-le-dentiste-pour-preserver-son-c-ur.html

Le mercure dentaire, un « poison » que l’on trouve en France dans 70% des plombages de molaires ou prémolaires, fait courir des risques graves à la santé et constitue un « nouvel exemple de dysfonctionnement de la sécurité sanitaire », selon des associations.

Plusieurs d’entre elles -Non au mercure dentaire, le Réseau environnement santé (RES), l’Association toxicologie-chimie- ont rencontré la presse à la veille de la tenue du 3ème round des négociations internationales sur le mercure (NC3), à Nairobi du 31 octobre au 4 novembre, sous l’égide du Programme des Nations-Unies sur l’environnement.

Les amalgames contiennent 50% de mercure, et on met chaque année « plus de 17 tonnes de mercure dans la bouche des Français », selon Marie Grosman, de Non au mercure dentaire.

Et pourtant, les fiches de sécurité envoyées par les fabricants aux dentistes sont « extrêmement alarmantes », « des centaines d’études scientifiques » incriminent le mercure dentaire, dit-elle.

« C’est un CMR (cancérogène, mutagène et reprotoxique) », selon le toxicochimiste André Picot. « Il est toxique aussi pour les systèmes nerveux, immunitaire et hormonal », s’amassant toute la vie dans le cerveau, les glandes endocrines, le système cardio-vasculaire… Il est « impossible de définir une dose d’exposition sans danger » pour la population fragile, comme les femmes enceintes et les enfants.

Les dentistes restent sereins.

« C’est un vieux fantasme », dit Jean-Claude Michel. « Il n’y a aucune trace de mercure dans les urines et le sang » des personnes qui ont des amalgames. « Il n’y a jamais eu de preuve scientifique que c’est dangereux pour la santé », assure Roland L’Herron, président de la confédération nationale des syndicats dentaires.

La France « isolée »

Pourtant, le Conseil de l’Europe a adopté en mai une résolution invitant à « la restriction, voire l’interdiction des amalgames comme matériaux d’obturation dentaire »; dans un récent rapport, l’Organisation mondiale de la santé suggère l’utilisation de matériaux alternatifs; la Norvège, la Suède et le Danemark ont même interdit l’amalgame dentaire.

Mais pour le Dr L’Herron, c’est seulement pour des raisons environnementales, pour éviter les rejets de mercure, très polluants. En outre, la demande est moins forte, « pour des raisons esthétiques », dit-il.

Marie Grosman estime que la France reste dans une position « isolée et incohérente ». Car selon elle, si le Plan national santé-environnement 2 demande une réduction de l’exposition au mercure de la population de 30% d’ici 2013, elle est le « seul pays qui s’est officiellement opposé à l’arrêt des amalgames dans l’Union européenne ».

Selon les associations, les produits de remplacement, à base de verre dit ionomère, ont « fait leurs preuves » : ils permettent d’enlever moins de dent, sont aussi bien remboursés que les amalgames, pour une longévité « au moins identique ». Mais ils sont plus compliqués à poser. Selon les dentistes, ils sont « moins résistants à l’abrasion et très sensibles à l’humidité ».

« C’est un nouvel exemple de dysfonctionnement du système de sécurité sanitaire, nous avons plusieurs décennies de retard », dénonce André Cicolella, président du RES, estimant que l’épidémie de maladies chroniques relevée récemment à l’ONU « impose de ne pas retarder l’action publique ».

Faut-il pour autant faire enlever ces amalgames ? Sans doute, mais « très progressivement et de façon très précautionneuse », dit Mme Grossman : une dépose hâtive peut « faire courir de grands risques ».

Sur ce point, les dentistes sont d’accord : « c’est plus dangereux que la pose », reconnaît le Dr Michel.

Pour un boinne hygiène bucco-dentaire, le fil dentaire doit être passé quotidiennement, pour enlever la plaque dentaire au niveau inter-proximal (la zone entre deux dents).
En effet, la brosse à dents ne peut nettoyer cette zone, qui sera donc exposée aux pathologies : caries (appelées ici « caries proximales », au niveau du point de contact des dents) ; gingivite et parodontite.
Le fil dentaire est habituellement en nylon, en téflon ou en polyéthylène.
Il peut être ciré ou non ciré. Le fil ciré est plus facile à passer. Le fil non ciré est plus efficace.
Eco-Dent est une société américaine qui est spécialisé dans les produits dentaires d’après leur site ils n’utilisent que des produits de très haute qualité et aucunes substances chimiques
VeganFloss est un produit naturel à la saveur cannelle. VeganFloss ne contient pas de menthe (il est donc adapté pour les personnes se soignant avec des produits homéopathique) VeganFloss est exempt d’ ingrédients d’origine animale.
Ce fil dentaire est traité avec des enzymes et 14 huiles essentielles naturelles, il est ciré avec du son de riz, pas de cire d’abeille, il est donc en nylon et non pas en soie, pratique, dans un emballage carton recyclable et biodégradable et contient 100mètre de fil par paquet.

En pratique :
Le fil dentaire se présente sous la forme d’une bobine dans une petite boîte. Il faut en prendre une longueur de quarante centimètres environ. Les extrémités sont enroulées autour des index ; le guidage se fait avec les pouces. Le fil tendu est placé entre deux dents ; on effectue un mouvement de va et vient pour passer le point de contact. Quand le fil est dans l’espace inter-proximal, on le plaque contre la face d’une dent puis de l’autre, et on ressort. Il faut faire cela entre toutes les dents.

Alors qu’une nouvelle séance de négociations internationales sur le mercure doit avoir lieu sous l’égide de l’ONU, du 31 octobre au 4 novembre, plusieurs associations française ont lancé un cri d’alarme, jeudi 27 octobre, estimant que l’utilisation du mercure dentaire est toujours préoccupante en France. Pour ces organisations non gouvernementales – Non au mercure dentaire, le Réseau environnement santé (RES), l’Association toxicologie-chimie – le mercure dentaire, utilisé dans 70 % des amalgames de molaire ou de prémolaire en France – est purement et simplement « un poison ».
Les ONG ont calculé que les amalgames dentaires que les dentistes utilisent pour obturer les caries contiennent 50 % de mercure et concluent que chaque année on met ainsi « plus de 17 tonnes de mercure dans la bouche des Français ». Elles parlent d’un « nouvel exemple de dysfonctionnement de la sécurité sanitaire », alors que « des centaines d’études scientifiques » incriminent le mercure dentaire, ajoute Marie Grosman, du collectif Non au mercure dentaire.

Elle dénonce la position « isolée et incohérente », qui tout en travaillant pour la réduction de l’exposition au mercure de la population de 30 % d’ici 2013, reste, selon elle, le « seul pays qui s’est officiellement opposé à l’arrêt des amalgames dans l’Union européenne ». En effet, le Conseil de l’Europe a adopté en mai une résolution invitant à « la restriction, voire l’interdiction des amalgames comme matériaux d’obturation dentaire ». La Norvège, la Suède et le Danemark ont carrément interdit l’amalgame dentaire.

« JAMAIS EU DE PREUVE SCIENTIFIQUE QUE C’EST DANGEREUX »

Pour le toxicochimiste André Picot, le mercure est « un CMR (cancérogène, mutagène et reprotoxique) », qui est toxique aussi pour les systèmes nerveux, immunitaire et hormonal ». Il est « impossible de définir une dose d’exposition sans danger » pour la population fragile, comme les femmes enceintes et les enfants, ajoute-t-il. L’Organisation mondiale de la santé (OMS) suggère l’utilisation de matériaux alternatifs. Selon les associations, les produits de remplacement, à base de verre dit « ionomère », ont « fait leurs preuves » : ils permettent d’enlever moins de dent, sont aussi bien remboursés que les amalgames, pour une longévité « au moins identique ».

Roland L’Herron, président de la Confédération nationale des syndicats dentaires, affirme pour sa part qu’il n’y a jamais eu de preuve scientifique que c’est dangereux pour la santé ». A ses yeux, les mises en garde et interdiction n’existent que pour des raisons environnementales, pour éviter les rejets de mercure, très polluants. En outre, la demande est moins forte, « pour des raisons esthétiques », ajoute-t-il. Quant aux produits de remplacement, ils estiment qu’ils sont « moins résistants à l’abrasion et très sensibles à l’humidité ». Marie Grosman demande la fin des amalgames dentaires, mais « très progressivement et de façon très précautionneuse », car une dépose hâtive peut « faire courir de grands risques ». Un point sur lequel les dentistes sont d’accord.

http://www.lemonde.fr/planete/article/2011/10/27/des-ong-denoncent-l-utilisation-du-mercure-dentaire-un-poison-dans-la-bouche-des-francais_1595323_3244.html

Selon plusieurs associations, le mercure dentaire serait dangereux pour la santé. Présent dans 70% des plombages, il serait toxique pour le système nerveux, immunitaire et hormonal.


La mauvaise haleine procure un état d’inconfort permanent. De nombreux facteurs peuvent être la source de ce problème organique. Que la mauvaise haleine soit d’origine hygiénique ou infectieuse, les remèdes à base d’huiles essentielles sont toujours les meilleurs moyens de la traiter.
La prolifération des microbes et des bactéries dans l’intérieur buccal est souvent la cause d’une mauvaise haleine. Les plaques dentaires et les zones sublinguales sont les parties les plus ciblées par ces hôtes indésirables. L’usage d’huiles essentielles antibactériennes est ainsi recommandé pour y remédier. Ces huiles essentielles peuvent être utilisées de plusieurs manières. Vous pouvez par exemple les diluer dans de l’eau fraîche pour servir de bain de bouche désinfectant. Certaines huiles sont à mélanger au dentifrice pour l’assainissement de la flore buccale. D’autres peuvent être versées à l’état pur dans la bouche pour le soin des infections buccales comme l’aphte ou la gingivite.

Pour un bain de bouche au naturel, mélangez une goutte d’huile essentielle de citron à une goutte d’huile essentielle de thym. Vous pouvez également y ajouter une goutte d’huile essentielle de sauge. Diluez le tout dans un verre d’eau, et servez-vous en après chaque repas.
Pour traiter une mauvaise haleine d’origine bactérienne, deux gouttes d’huile essentielle de menthe poivrée, de l’huile essentielle de basilic exotique de la même quantité ainsi que de l’essence de citron sont à mélanger à une cuillérée à café d’huile d’olive. Le tout est à consommer avant chaque repas.
Les huiles essentielles de calendula, d’échinacea, de sauge et de thym ont également démontré leur efficacité dans le traitement des inflammation de la gencive (gingivite)

La mauvaise haleine procure un état d’inconfort permanent. De nombreux facteurs peuvent être la source de ce problème organique. Que la mauvaise haleine soit d’origine hygiénique ou infectieuse, les remèdes à base d’huiles essentielles sont toujours les meilleurs moyens de la traiter.
La prolifération des microbes et des bactéries dans l’intérieur buccal est souvent la cause d’une mauvaise haleine. Les plaques dentaires et les zones sublinguales sont les parties les plus ciblées par ces hôtes indésirables. L’usage d’huiles essentielles antibactériennes est ainsi recommandé pour y remédier. Ces huiles essentielles peuvent être utilisées de plusieurs manières. Vous pouvez par exemple les diluer dans de l’eau fraîche pour servir de bain de bouche désinfectant. Certaines huiles sont à mélanger au dentifrice pour l’assainissement de la flore buccale. D’autres peuvent être versées à l’état pur dans la bouche pour le soin des infections buccales comme l’aphte ou la gingivite.

Pour un bain de bouche au naturel, mélangez une goutte d’huile essentielle de citron à une goutte d’huile essentielle de thym. Vous pouvez également y ajouter une goutte d’huile essentielle de sauge. Diluez le tout dans un verre d’eau, et servez-vous en après chaque repas.
Les huiles essentielles de calendula, d’échinacea, de sauge et de thym ont également démontré leur efficacité dans le traitement des inflammation de la gencive (gingivite)
Pour une mauvaise haleine d’origine digestive : deux gouttes d’huile essentielle de menthe poivrée, de l’huile essentielle de basilic exotique de la même quantité ainsi que de l’essence de citron sont à mélanger à une cuillérée à café d’huile d’olive. Le tout est à consommer avant chaque repas.